En différé léger…

Bon, d’accord, nous sommes revenus depuis deux semaines. C’est toujours la même chose: on n’a jamais le temps de bloguer sur tout en temps réel. Il me reste d’ailleurs des histoires à finir sur notre tour du monde. Peut-être un jour…

En attendant, revenons au festival Iceland Airwaves.

Jour 3

Le lieu, cette fois, c’est une  brasserie nommée Bryggjan Brugghús.

Júníus Meyvant

Nous retrouvons Júníus Meyvant, qui devient gentiment ma révélation du moment. J’aime vraiment son ironie permanente et, incidemment, sa musique. Dans la vidéo ci-dessous, filmée en 2014 par la station de radio KEXP de Seattle (tout est lié!), il dit un truc du genre : « Je suis allé à Seattle. Ils m’ont traité comme un chien. » Avec un sourire, il reprend: « Non, c’est faux, bien sûr. Il m’ont traité comme un membre de la famille. Mais je n’ai pas de famille, je ne pouvais pas savoir. » Evidemment, le membres principaux de son groupe sont ses deux frères. Voilà, ça m’amuse.

Dikta

Nous nous rendons compte que les Islandais aiment aussi la musique islandaise et que certains groupes, sont plus populaires que nous pensions. Dikta en fait clairement partie. (Cette vidéo date un peu…)

Valdimar

Difficile de ne pas remarquer l’ampleur du monsieur. Les trois fans surexcités qui dansent devant nous en nous bloquant occasionnellement le spectacle pourraient tenir dans sa chemise. Mais c’est vrai qu’il est bon.

 

De retour au Harpa pour les concerts du soir:

Art is Dead et Ceastone

Pas grand chose à dire sur ces groupes… désolé. J’ai préféré le premier.

Perfume Genius

On sort du purement islandais. Perfume Genius vient de Seattle avec un univers torturé fascinant.

Je découvre sur la scène du Harpa Body’s in Trouble sa reprise d’un titre de Mary Margaret O’Hara qui a bercé la fin de mes années 80, mais qu’il modernise avec des tons lynchiens. Un beau petit choc.

Les palmiers sur la vidéo? Pas typiques de l’Islande.

voir jour 4